L'eau, c'est la vie, l'eau, c'est la nourriture. Ne laissons pas le Turkana derrière nous !
Collecte de fonds par Sara Hoogerwerf
.2,4 milliards de personnes vivent actuellement dans des pays souffrant de
pénuries d'eau. La concurrence pour cette ressource s'intensifie et la pénurie d'eau est de plus en plus souvent à l'origine de conflits
L'emblème du drame de cette situation est la région de Turkana, au nord-ouest du Kenya, qu'Henry et moi avons eu l'occasion de visiter au mois d'août dans le cadre d'une mission de la Communauté du Pape Jean XXIII. La région tire son nom du lac Turkana, le plus grand lac permanent dans un environnement désertique et également le lac le plus alcalin du monde. Dans cette région, les communautés locales subissent les conséquences dévastatrices du changement climatique, avec une sécheresse prolongée qui cause la mort de milliers de têtes de bétail et exacerbe les conflits tribaux.
Le manque de précipitations (à peine 10 jours de pluie au cours des cinq dernières années) a mis à rude épreuve les habitants de cette région, car l'eau du lac est inutilisable pour l'agriculture et non potable. Face à cette situation d'urgence, les populations sont contraintes de creuser des puits peu profonds dans les lits asséchés des rivières, mais l'eau trouvée est souvent contaminée et met gravement en danger la santé, notamment celle des enfants. Cette situation a un impact direct sur la disponibilité de la nourriture, la population se nourrissant presque exclusivement de poisson séché, de lait de chèvre ou de chamelle et de céréales, qui sont rarement disponibles.
Pour faire face à cette urgence, la Communauté du Pape Jean XXIII a lancé une campagne decollecte de fonds pour la construction de puits afin de répondre aux besoins des villages de Moite et d'Altugo. Le coût de ces travaux s'élève à 126 990 €. Il s'agit d'une intervention coûteuse, mais vitale pour garantir à ces communautés un accès à l'eau potable.
A l'occasionde la Journée mondiale de l'alimentation,qui place cette année l'eau au centre de l'attention, nous avons décidé de contribuer à cette cause qui nous tient à cœur en lançant personnellement une collecte de fonds pour soutenir le projet visant à apporter de l'eau potable aux habitants du Turkana, qui en ont un besoin urgent pour survivre.
Nous vous invitons à participer à cette collecte. Chaque contribution, aussi modeste soit-elle, est d'une importance cruciale.
Nous vous remercions !
Sara et Enrico
Allocation de fonds pour un seul puits (x2) :
Equipement (pompe, structures solaires, câbles, tuyaux, compteur d'eau, connecteurs) : 12 178
€Réservoir
d'
eau : 16 660 €2
abreuvoirs pour le bétail :
5 833€Kiosque
d'eau : 5 833 €Clôture
: 4 041
€Coût
du
forage : 20 300 € pour Moite et 17 600 € pour Altugo
.ENGLISH VERSION------------------------------------------------------------------------------------------------
Au cours des dernières décennies, la disponibilité d'eau douce par personne a diminué d'environ 20 %, principalement en raison de la mauvaise gestion, de la surextraction des eaux souterraines, de la pollution et des effets du changement climatique.
Actuellement, environ 2,4 milliards de personnes vivent dans des régions confrontées à une pénurie d'eau. La concurrence pour cette ressource inestimable s'intensifie, entraînant des conflits, notamment entre les communautés locales.
La région de Turkana, située au nord-ouest du Kenya, est un exemple frappant de cette crise. En août, alors que nous participions à une mission organisée par la Communauté du Pape Jean XXIII, Enrico et moi avons eu l'occasion de visiter cette région. La région tire son nom du lac Turkana,le plus grand lac permanent dans un environnement aride et également réputé pour être le lac le plus alcalin au monde. Dans cette région, les communautés locales sont aux prises avec les effets dévastateurs du changement climatique, marqués par des sécheresses prolongées qui ont décimé des milliers de têtes de bétail et exacerbé les conflits tribaux.
Le manque cruel de précipitations (seulement 10 jours de pluie au cours des 5 dernières années) a mis à rude épreuve les habitants de cette région. L'eau du lac est impropre à la consommation et à l'agriculture. Pour faire face à cette crise, les habitants sont contraints de creuser des puits peu profonds dans le lit des rivières asséchées. Malheureusement, l'eau qu'ils récupèrent est souvent contaminée, ce qui représente un risque sanitaire grave, en particulier pour les enfants. Cette situation affecte directement la disponibilité de la nourriture, car les habitants subsistent principalement avec du poisson séché, du lait de chèvre ou de chamelle, et des céréales rarement disponibles.
Pour faire face à cette situation urgente, la Communauté du Pape Jean XXIII a lancé une campagne de collecte de fonds pour construire des puits qui répondront aux besoins des villages de Moite et d'Altugo. Le coût de cette entreprise s'élève à 126 990 euros. Bien qu'il s'agisse d'un investissement substantiel, il est indispensable pour garantir l'accès de ces communautés à l'eau potable.
À l'occasion de la Journée mondiale de l'alimentation, qui place l'eau au centre de l'attention, nous avons décidé de contribuer à cette cause qui nous tient à cœur en lançant personnellement une initiative de collecte de fonds en faveur du projet d'eau potable de Turkana.
Ces communautés ont un besoin urgent d'eau potable pour survivre et nous vous invitons à vous joindre à nous dans cet effort. Chaque contribution, aussi modeste soit-elle, revêt une importance significative.
Merci !
Sara et Enrico
Ventilation du financement pour un seul puits (deux puits seront construits) :
Equipement (pompe, structures solaires, câbles, tuyaux, compteur d'eau, connecteurs) : 12 178 €
Réservoir d'eau : 16 660 €
2 abreuvoirs pour le bétail :
5 833€ Kiosque à eau : 5 833 €
Clôture : 4 041 €
Coût du forage : 20 300 € pour Moite et 17 600 € pour Altugo
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